tag:blogger.com,1999:blog-2757084819650699292024-03-13T23:20:40.223+01:00Jour après jour...Communication, Ethologie, Réseaux sociaux, PNL, Process Com, Business Intelligence, Créativité, Conseil, Développement personnel, Analyse Transactionnelle...Hélène SCHILDhttp://www.blogger.com/profile/01769733885134132162noreply@blogger.comBlogger202125tag:blogger.com,1999:blog-275708481965069929.post-3276846795617844792013-05-21T16:02:00.001+02:002013-05-21T16:02:07.567+02:00L'argent fait le Bonheur OU Risques psychosociaux, un enjeu majeur de santé publique ?<i><br /></i>
<i>Le Conseil économique, social et environnemental (CESE) estime que la
prévention des risques psychosociaux pourraient devenir un enjeu majeur
de santé publique.</i><br />
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</script><br /></div>
<i>Il souligne le retard pris par les entreprises et préconise notamment d'étudier l'impact des restructurations en amont.</i><br />
<br />
<i>Sylvie Brunet : "l'impact des troubles psychosociaux sur notre compétitivité économique est encore largement sous-estimé".</i><br />
<br />
Les choses vont enfin bouger ! Il est question d'<b>ARGENT</b>. C'est un argument majeur. L'argument ! Avant ce constat, cette crainte, le stress au travail et les risques psychosociaux n'étaient pas pris très au sérieux contrairement parfois aux apparences. Même si dans l'entreprise, on s'affairait à mettre en place des soi-disant moyens pour les éviter : une salle de sport, un sondage sur le stress... C'était bon ! On avait fait le job. On était "couvert" et on était très fier de présenter tout cela aux salariés dans des grandes salles de réunion ! Mais les ingrédients du stress, du burnout, du suicide parfois... étaient toujours là. Eux on n'y touchait pas. En fait, on s'occupait très bien de la forme mais on faisait fi du fond du problème pour le régler avec sérieux. <br />
<br />
<i>Le stress...</i><br />
<ul>
<li><i>une surcharge de travail</i></li>
<li><i>des rythmes effrénés</i></li>
<li><i>des objectifs
contradictoires</i></li>
<li><i>une peur du licenciement</i></li>
<li><i>un manque de reconnaissance</i></li>
<li><i>un manque d'autonomie </i></li>
<li><i>un management harcelant... </i></li>
<li><i> ...</i></li>
</ul>
Avec la crise, les agissements toxiques de certains sont devenus aux yeux des décideurs, "légitimes", sans aucune remise en question possible.<br />
<br />
Et aujourd'hui, avec cette prise de conscience que tout cela a un coût, il ne pourra en être autrement que de s'attacher à traiter enfin le problème dans le fond. Excusez-moi mais je m'en réjouis. Vraiment désolée qu'il ait fallu en arriver là mais tellement soulagée à l'idée d'une amélioration. Je suis sidérée que l'humain n'ait pas plus de place et de considération dans le monde du travail. Un vrai gâchis. A 45 ans, en France vous êtes un sénior ce qui signifie que vous êtes bon à mettre au rebut. C'est ce que j'observe. La société vous a amorti (si je puis dire) et vous vous êtes meurtri !<br />
<br />
Je suis en colère après ceux qui ont cette vue à court terme si nocive pour la société entière et tous les Hommes qui la constituent. On prend, on presse et on jette ! On ne fait rien de bon ainsi. J'en suis certaine, et je le dis depuis plus de 20 ans : Rendons les Hommes heureux sur leur lieu de travail, dans la mesure du possible, et ils donneront le meilleur d'eux-mêmes. Entrons dans un cercle vertueux. Est-ce difficile ? Que peut-on améliorer ? On pourrait poser la question aux personnes concernées : les salariés !... <br />
<i><br />"Les salariés français ne sont pas plus fragiles que les autres. Tout au plus sont-ils très investis dans leur travail. D'où un réel conflit de valeurs dans lequel ils ont le sentiment de ne pas pouvoir faire leur travail comme ils le voudraient. Ce qui est urgent c'est de changer certaines pratiques managériales destructrices", ajoute Françoise Geng qui préside la section du travail et de l'emploi au CESE.<br /><br />"Donne à l'homme un pourquoi, il pourra s'accommoder de tous les comment", professait Nietzsche.</i><br />
<i> </i><br />Lire l'article <a href="http://www.latribune.fr/blogs/mieux-dans-mon-job/20130516trib000764954/le-stress-au-travail-bientot-decrete-enjeu-de-sante-publique-.html" target="_blank">Le stress au travail, bientôt décrété enjeu de santé publique ?</a> sur le site de la tribune : www.latribune.fr <i><br /></i><br />
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Hélène SCHILDhttp://www.blogger.com/profile/01769733885134132162noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-275708481965069929.post-73597892570518084752013-02-26T13:28:00.000+01:002013-02-26T13:28:59.165+01:00Un Shazam pour identifier les plantes !L'arrivée de Shazam m'a déjà époustouflée ! Chaque fois qu'il trouve le bon résultat, je suis aux anges et on ne peut plus étonnée !!<br />
<br />
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<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: left;">
Mais là, c'est plutôt incroyable. Prendre des photos de plantes et les identifier en un instant, c'est plutôt fou ! A chaque nouveauté, je me demande bien où l'imagination humaine va nous emmener ! Et dire que nos petits yiers (generation Y) sont nés avec toute cette technologie et que pour eux c'est on ne peut plus banal !</div>
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<br /></div>
<br />
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<a href="http://1.bp.blogspot.com/-amQUCL7D_sc/USynsXjMInI/AAAAAAAAIVU/zytSCrwtGZs/s1600/DSCF8199.JPG" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="320" src="http://1.bp.blogspot.com/-amQUCL7D_sc/USynsXjMInI/AAAAAAAAIVU/zytSCrwtGZs/s320/DSCF8199.JPG" width="240" /></a></div>
<br />
Une nouvelle app, application pour smartphone, a été présentée au salon de l'agriculture de Paris. L'application existe déjà sur Internet et s'appelle <a href="http://identify.plantnet-project.org/fr/" rel="nofollow" target="_blank">Pl@ntNet-Identify</a>.<br />
<br />
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<a href="http://3.bp.blogspot.com/-zXWaydjfqTw/USyoH38_1oI/AAAAAAAAIVc/SDfWyyjrRps/s1600/DSCF8115.JPG" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="240" src="http://3.bp.blogspot.com/-zXWaydjfqTw/USyoH38_1oI/AAAAAAAAIVc/SDfWyyjrRps/s320/DSCF8115.JPG" width="320" /></a></div>
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<a href="http://www.stratagemme.com/"></a><br /></div>
Et sous la neige, ça marche aussi ? ;-)<br />
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<br /></div>
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Lire l'article de 01 informatique sur <a href="http://www.01net.com/editorial/587519/identifier-les-plantes-en-les-photographiant-avec-son-smartphone/#?xtor=RSS-16" target="_blank">l'application qui permet d'identifier les plantes avec son smartphone...</a></div>
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Hélène SCHILDhttp://www.blogger.com/profile/01769733885134132162noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-275708481965069929.post-60348041922385872852013-01-13T01:31:00.001+01:002013-01-20T18:39:12.828+01:00Excellente Année 2013 !<div class="separator" style="clear: both; text-align: right;">
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<a target="_blank" href="http://1.bp.blogspot.com/-Wo2uDj18gSE/UPwrLK6gXGI/AAAAAAAAIKk/5UZBConC0MQ/s1600/Bonne+annee+2013.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="295" src="http://1.bp.blogspot.com/-Wo2uDj18gSE/UPwrLK6gXGI/AAAAAAAAIKk/5UZBConC0MQ/s400/Bonne+annee+2013.jpg" width="400" /></a></div>
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<a href="http://www.stratagemme.com/">www.stratagemme.com</a> </div>Hélène SCHILDhttp://www.blogger.com/profile/01769733885134132162noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-275708481965069929.post-75570708548521337652010-05-04T08:00:00.002+02:002010-05-04T08:00:03.211+02:00Le cerveau humain ne peut mener plus de deux tâches de front<div align="justify">Les chercheurs français Etienne Koechlin et Sylvain Charron publient une étude approfondie, démontrant que le cerveau peut mener deux tâches simultanément, mais pas trois. La limite est imposée par le nombre des hémisphères cérébraux. </div><div align="justify">Grâce à un appareil d'imagerie fonctionnelle (IRM) et des tests proposés à une trentaine d'étudiants volontaires, les chercheurs ont observé que, lors de la réalisation d’un test équivalant à une seule tâche, les deux hémisphères du cerveau se mobilisaient. </div><div align="justify">Lorsqu’il était demandé de réaliser deux tâches à la fois, chaque hémisphère prenait une tâche en charge, une zone frontale s’activant alors pour conserver la mémoire des deux missions à accomplir et "les gérer successivement". La conduite d’une troisième tâche en revanche perturbait les volontaires, qui finissaient par renoncer. </div>Le Figaro – 16/04/2010Hélène SCHILDhttp://www.blogger.com/profile/01769733885134132162noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-275708481965069929.post-83791466448790074252010-03-12T09:00:00.002+01:002010-03-12T09:00:06.413+01:00Surveiller sa réputation sur le Websource : <a href="http://www.ouest-france.fr/">http://www.ouest-france.fr/</a> 15 février 2010<br />
<br />
<div style="text-align: justify;">Sur les réseaux sociaux mieux vaut bien paramétrer ce que l'on veut rendre public ou privé.</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Nos comportements. En France, seulement un internaute sur trois (32 %) se soucie des traces qu'il laisse quand il met un contenu en ligne (1). Nous ne sommes que 37 % à paramétrer la confidentialité sur les réseaux sociaux et 22 % à surveiller les commentaires que font les autres sur nous. Bref, pas très attentifs à notre e-réputation...</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Identité numérique. Internet est pourtant devenu une facette de notre vie sociale. Nos actes et fréquentations en ligne peuvent avoir des conséquences, comme dans la vie réelle ! En France, 14 % des recruteurs disent avoir déjà écarté un candidat à cause d'infos trouvées sur lui sur Internet (70 % aux États-Unis). D'où l'intérêt de maîtriser les traces qu'on laisse sur le Web. </div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Surveiller ses traces. On vérifie quelles infos sont associées à son nom, en le tapant dans un moteur de recherche (Google, Yahoo, Bing). À compléter par une visite à 123people (qui collecte les renseignements personnels disponibles en ligne), et Wikio (qui indexe les contenus des blogs). Enfin, on peut entrer ses prénom et nom dans Google Alertes pour être prévenu par e-mail chaque fois que le moteur les indexe.</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Séparer public et privé. Sur les réseaux sociaux et outils de partage (Facebook, Copains d'avant, LinkedIn, Viadeo, Twitter...), mieux vaut bien paramétrer ce que l'on veut rendre public ou privé. Ou se créer deux comptes : un professionnel et un privé. Pour les courriels, il peut être utile de se créer deux adresses : une pour les messages personnels, l'autre pour les échanges liés aux forums, newsletters, jeux-concours, sites commerciaux... </div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Nom de domaine. Pour les métiers liés à l'Internet et à la communication, avoir une présence en ligne est indispensable. Presque un gage de crédibilité. Être absent de la Toile peut laisser penser qu'on n'y connaît rien... Les plus soucieux de construire leur « e-réputation » auront tout intérêt à créer leur nom de domaine, sur le modèle prénom-nom.com et d'y associer un blog personnel ou une page de présentation.</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Sites utiles. Pour le Safer Internet Day (Jour pour un Internet plus sûr) organisé par la Commission européenne le 9 février, et la Journée européenne de la protection des données personnelles et de la vie privée du 28 janvier, ont été mis en ligne plusieurs sites destinés aux jeunes : ils dispensent des conseils de bon sens, valables pour tous !</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">- internetsanscrainte.fr</div><div style="text-align: justify;">- jepubliejereflechis.net</div><div style="text-align: justify;">- jeunes.cnil.fr</div><div style="text-align: justify;">- e-enfance.org</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">(1) Enquête Cross Tab, commanditée par Microsoft.</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div>Hélène SCHILDhttp://www.blogger.com/profile/01769733885134132162noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-275708481965069929.post-2381285706984497802010-03-11T09:00:00.003+01:002010-03-11T09:00:04.039+01:00Les réseaux sociaux, nouvelles sources pour les journalistes<div style="text-align: justify;">Source : Blog sur <a href="http://www.lefigaro.fr/">http://www.lefigaro.fr/</a> 15 février 2010</div><div style="text-align: justify;"></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Peter Horrocks, le nouveau patron de BBC Global News, a été clair dès son arrivée : les journalistes doivent apprendre à se servir des réseaux sociaux et le faire effectivement. "Ils ne font pas leur boulot s'ils ne savent pas faire ça. Ce n'est pas facultatif", a-t-il tempêté. </div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Aux Etats-Unis, ces nouvelles sources comment à s'installer dans les usages, révèle une étude réalisée par le cabinet d'études Cision et la George Washington University auprès de journalistes de la presse écrite et Internet.</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Plus de la moitié des journalistes sondés (56%) estime que les médias sociaux ont eu une certaine importance dans l'enquête et la production de certains articles. La statistique est tirée vers le haut par les journalistes du Web (69%), vers le bas par ceux qui travaillent en presse magazine (48%). Au total, 28% n'y accordent peu ou pas d'importance. </div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Quelles sont leurs sources sociales ? Les blogs restent loin devant, cités par 89% des journalistes. Les réseaux sociaux come LinkedIn et Facebook sont utilisés par 75% des journalistes Web, 72% des journalistes de presse quotidienne et 58% des journalistes de presse magazine. </div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Le micro-blogging perce doucement : très largement adopté comme source par les journalistes Web (69%), il commence à séduire les plumes de la presse quotidienne (49%) et magazine (45%). </div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Prêts à écouter ces sources, les journalistes n'en sont pas moins prudents sur leur qualité : 84% des sondés estiment que les contenus des médias sociaux sont moins ou légèrement moins fiables que ceux contenus dans les médias traditionnelles. Plus un journaliste est expérimenté, plus il semble se méfier de ces sources, être issu de la presse écrite renforce encore cette idée. Principal grief : le manque de vérification (cité par 49% des sondés). </div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Enfin, les journalistes embrassent aussi les médias sociaux pour publier, partager et promouvoir leurs papiers : 64% utilisent le blog, 60% les réseaux sociaux et 57% des sites comme Twitter. Ils se fient ensuite à </div><div style="text-align: justify;">l'audience, au nombre de liens entrants, aux commentaires et follower sur Twitter pour mesurer l'impact d'un papier.</div>Hélène SCHILDhttp://www.blogger.com/profile/01769733885134132162noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-275708481965069929.post-80969306804048604692010-03-10T08:00:00.000+01:002010-03-10T08:00:00.683+01:00Entreprise, réseaux sociaux et SharePoint<div align="justify">Source : <a href="http://www.lemondeinformatique.fr/">http://www.lemondeinformatique.fr/</a> 2 mars 2010<br />
<br />
<strong><br />
</strong><br />
<strong>Ceux qui pensent encore que l'Enterprise 2.0 n'est rien d'autre qu'un slogan, devraient revoir leur point de vue.</strong></div><div align="center"><br />
</div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="http://lh6.ggpht.com/_YodRREPfd3s/S47lcfRShmI/AAAAAAAAESI/2lc5bFXMRL4/s1600-h/a_plage_pas%5B3%5D.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;" target="_blank"><img alt="a_plage_pas" border="0" height="244" src="http://lh3.ggpht.com/_YodRREPfd3s/S47lc0klB_I/AAAAAAAAESM/wISZNiwDBxE/a_plage_pas_thumb%5B1%5D.jpg?imgmax=800" style="border-bottom-width: 0px; border-left-width: 0px; border-right-width: 0px; border-top-width: 0px; display: block; float: none; margin-left: auto; margin-right: auto;" title="a_plage_pas" width="184" /></a></div><div align="justify"><b></b></div><div align="justify"><b></b></div><div align="center"> <span style="font-size: xx-small;"><span style="font-size: x-small;">Photo prise à Cap Breton</span> <br />
<strong>Mai 2009, Hélène SCHILD</strong></span></div><div align="center"><br />
</div><div align="justify">Une des entreprises à pouvoir témoigner d'une intégration réussie des outils sociaux dans SharePoint est le géant du conseil Accenture. Ces derniers temps encore, le département IT d'Accenture faisait remarquer que les cadres dirigeants avaient beaucoup assoupli leur résistance à l'encontre des outils de réseautage social. « La meilleure remarque que j'ai entendu d'un cadre dirigeant est : « je sais que je ne comprends pas, mais je sais que nous devons le faire », a déclaré Kevin Dana, en charge de l'informatique sociale et collaborative au sein de l'entreprise. Il y a deux ans, Accenture a commencé à expérimenter la mise en place d'un réseau social via MySites de SharePoint, avec des pages de profil incluant une photo, l'intitulé du poste du salarié, ses compétences, son e-mail et des informations d'agenda, une bibliothèque de documents et une liste de ses collègues de travail (surnommé «Colleague Tracker"). « Ces profils MySite se sont avérés très statiques et très limités en matière de personnalisation, » a expliqué Kevin Dana. « Ce dont l'entreprise avait besoin était un site officiel où les employés pouvaient devenir membres et un site principal, où ils pouvaient partager des informations sur un secteur ou des sujets donnés via les wikis, le microblogging, les tags et le partage de liens. » Accenture a finalement choisi d'intégrer la suite SocialSites de Newsgator dans SharePoint 2007 pour renforcer les outils existants. Après avoir mené, de mars à août 2009, des essais pilotes sur la suite Newsgator, Accenture a passé SocialSites en mode de production. Pour finir, Accenture a utilisé SocialSites de Newsgator pour son site de Groupe et pour son site de profile People (MySites). Le résultat final ressemble tout à fait aux nouvelles pages Feeds de Facebook.</div><div align="justify">…</div><div align="justify">Edelman et Accenture se préparent activement à une mise à niveau vers SharePoint 2010. Pourtant, même si l'un et l'autre admettent que les outils sociaux de SharePoint 2010 ont été améliorés, ils pensent qu'ils ne sont pas encore au niveau des outils de partage de liens social et de microblogging de Newsgator Enterprise 2.0 et de solutions d'autres vendeurs, y compris la capacité à créer des pages groupes et communautaires, disent ils. Toutefois, Kevin Dana d'Accenture fait remarquer que, bien que les vendeurs de logiciels sociaux fournissent de meilleures fonctionnalités que SharePoint 2010, ils devront tous s'adapter à lui pour survivre. « Ils doivent devancer Microsoft», dit-il. « Quitte à ce que Newsgator soit allégé de certaines caractéristiques nouvellement disponibles dans la version 2010. »</div><div align="justify"><br />
</div>Hélène SCHILDhttp://www.blogger.com/profile/01769733885134132162noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-275708481965069929.post-33044550289337864652010-03-09T08:00:00.002+01:002010-03-09T08:00:00.167+01:00Rien à perdre, tout à gagner !<div style="text-align: justify;">Quelques réflexions sur l'utilisation que font les "petites" entreprises des réseaux sociaux et plus particulièrement, mon expérience... Un témoignage que je partage bien volontiers avec vous.</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"><strong>L'idée d'écrire cet article est venue d'un commentaire de CWM Consulting dans un précédent article sur ce blog. Je vous invite à lire le </strong><a href="http://cwm-consulting.over-blog.com/" target="_blank"><strong>blog de CWM Consulting</strong></a><strong> dans lequel vous trouverez des observations et analyses pertinentes concernant la communication et plus particulièrement les réseaux sociaux. </strong></div><div style="text-align: justify;"><br />
Lorsqu'un ami m'a invitée sur Viadeo (en 2005 je crois...), j'avais déjà en tête de créer ma "boite" et j'ai immédiatement compris le potentiel de cet outil improbable ! Gagner en visibilité avec des moyens modernes, accessibles, sans courir... Toucher des personnes malgré la distance. A l'époque, je n'avais pas évalué l'engouement incroyable qui allait suivre... Mais qui l'avait anticipé alors ?<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="http://2.bp.blogspot.com/_YodRREPfd3s/S5V6Upns9_I/AAAAAAAAEUw/Y8rgBk-Ptpo/s1600-h/a_chemin_DSCF3350.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" kt="true" src="http://2.bp.blogspot.com/_YodRREPfd3s/S5V6Upns9_I/AAAAAAAAEUw/Y8rgBk-Ptpo/s400/a_chemin_DSCF3350.jpg" width="400" /></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">Photo prise à l'arboretum, Chatenay-Malabry</div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="font-size: x-small;">Hélène SCHILD, février 2010</span></div></div><div style="text-align: justify;"><br />
Chef de projet informatique dans un grand groupe français, j'ai créé mon entreprise individuelle Stratagemme en 2006. Je suis créatrice de bijoux en argent et pierre naturelles. Depuis, je mène ces deux activités en parallèle.<br />
<br />
Créer sa boite, c'est une aventure formidable ! Après 15 ans de "ronronnement salarial", je découvrais le monde de l'entreprise sous un autre angle, celui de l'entrepreneur. J'avais tout à apprendre et ce que j'ai appris, je l'ai appris sur le tas. Comment mettre en place une communication efficace pour faire connaître mes créations, qui soit en accord avec mes valeurs de respect d'autrui : Informer et partager sans manipuler. Pas question de faire de la vente agressive ! Mon idée était de partager ma passion avant tout pour le bonheur de tous. Etant salariée, je n'avais pas de crainte du lendemain et j'avoue que je me suis lancée sereinement. Je me suis dit : "J'essaye un an et si cela ne marche pas, j'arrête". Rien à perdre, tout à gagner ! Depuis le 1er mars, j'entame la 5ème année avec Stratagemme !</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Depuis mes débuts sur Viadeo, j'ai élargi ma présence à d'autres réseaux sociaux. Ce qui se passe sur la toile aujourd'hui est passionnant ! Un bouleversement des moyens de communication, d'échange et de partage de l'information est en train de s'opérer sous nos yeux. Non seulement nous en sommes témoins mais nous y participons activement. Je crois que bon nombre d'internautes ne réalisent pas encore l'ampleur de ces changements. C'est une transformation en profondeur. Rien ne sera plus comme avant. C'est un véritable progrès puisque ces nouveaux moyens de communication facilitent et accélèrent l'accès à l'information ce qui devrait propulser l'innovation.</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">L'utilisation de ces moyens de communication demande un investissement non négligeable en temps. Je pense que c'est un investissement rentable sur le moyen et long terme à condition d'être patient et persévérant. Les liens qui se nouent sont construits et basés sur la confiance. Impossible de tricher sur la toile ! La visibilité est une entrave au mensonge. Un faux pas sera visible tôt ou tard. Cela me plait beaucoup et implique dans les échanges : transparence et cohérence. Une autre aptitude qui facilite le partage, indispensable pour nouer des contacts solides et respectueux : l'empathie.</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Si je devais donner 3 conseils pour créer son entreprise :</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">- Oser se lancer car c'est une merveilleuse expérience</div><div style="text-align: justify;">- Observer le succès des autres et s'inspirer des bonnes idées (en accord avec vos valeurs)</div><div style="text-align: justify;">- Offrir et vous recevrez</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Les réseaux sociaux sont des mines d'informations. On y trouve des idées, des appuis, des critiques, des astuces, du soutien, des conseils, du réconfort... On y côtoie des personnes que l'on n'aurait sans doute jamais rencontrées. On y fait des rencontres professionnelles et amicales. On noue des partenariats. <br />
<br />
L'Homme est un "animal social" (Aristote) et finalement il n'est pas étonnant que ces outils qui rapprochent les Hommes aient autant de succès ! C'est notre nature profonde qui revient à la surface et qui s'épanouie.</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Je terminerai sur une anecdote...</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Sur le salon de Sainte-Marie Aux Mines où je présentais mes créations de bijoux, une dame hésitait entre deux colliers. Elle est restée un certain temps sur mon stand et nous avons pas mal échangé pendant qu'elle faisait son choix. Puis, elle a fini par me dire qu'une de ses amies présente sur le salon, l'avais envoyée sur mon stand en lui disant que je faisais un travail de qualité et que j'étais sérieuse. Cette mystérieuse personne était-elle une de mes connaisances pour me présenter comme quelqu'un de sérieux ? A ma grande surprise, la mystérieuse inconnue n'était autre qu'un de mes contacts sur Viadeo que je n'avais jamais rencontré auparavant. Je n'avais pas eu non plus d'échange autre que la prise de contact sur Viadeo. Elle avait sans doute suivi mon évolution et ma participation sur ce réseau et avec le temps, un climat de confiance s'était instauré naturellement.<br />
<br />
Ma dernière rencontre dans la "vraie vie" date du week-end dernier, où j'ai retrouvé un contact lors de l'<a href="http://stratagemme.blogspot.com/2010/03/expo-dorchidees-bourg-la-reine-photos.html" target="_blank">exposition d'orchidées à Bourg-La-Reine</a>...</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: large;">Il n'existe pas de vaccin contre le virus du réseau social et c'est tant mieux !</span></strong></div>Hélène SCHILDhttp://www.blogger.com/profile/01769733885134132162noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-275708481965069929.post-17827896468952086212010-03-08T08:00:00.002+01:002010-03-08T08:00:02.329+01:00Réseaux sociaux et Entreprise<div style="text-align: center;"><strong><em></em></strong><br />
<a href="http://2.bp.blogspot.com/_YodRREPfd3s/S4qKcT-sxBI/AAAAAAAAESA/FTIc33GojTE/s1600-h/a_oiseaux_DSCF3519.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;" target="_blank"><img border="0" kt="true" src="http://2.bp.blogspot.com/_YodRREPfd3s/S4qKcT-sxBI/AAAAAAAAESA/FTIc33GojTE/s320/a_oiseaux_DSCF3519.jpg" /></a></div><div style="text-align: justify;"><br />
<strong><em>Malgré les réticences, les peurs, la rétention d'informations, le manque de communication, de temps, de moyens (car pas prioritaires), les réseaux sociaux rentre doucement mais surement dans les entreprises. Pour le bien de tous et de chacun, la connaissance sera partagée plus largement. Pour être efficaces et pertinents, les échanges et le partage de l'information via les réseaux sociaux seront basés sur la confiance et la cohérence. </em></strong><br />
<br />
<strong><em>Petite sélection d'articles sur les réseaux sociaux et l'entreprise... et le fameux brevet de facebook !</em></strong></div><br />
<br />
<div style="text-align: justify;">Les réseaux sociaux se verticalisent […] (RT @usinenouvelle) - <a href="http://bit.ly/aWTBxZ" target="_blank">http://bit.ly/aWTBxZ</a> <br />
<br />
La connaissance et la confiance, piliers de l'entreprise 2.0 […] (RT @usinenouvelle) - <a href="http://bit.ly/btXD1s" target="_blank">http://bit.ly/btXD1s</a> <br />
<br />
#LesEchos Les entreprises se branchent sur les reseaux sociaux sur Internet <a href="http://ow.ly/1eQJr" target="_blank">http://ow.ly/1eQJr</a>"Au début, les entreprises ont eu très peur car les réseaux sociaux signifient la fin de la communication verticale des entreprises..."<br />
<br />
#LesEchos Brevet obtenu par facebook "Une reelle menace pour les reseaux sociaux" <a href="http://ow.ly/1eQK1" target="_blank">http://ow.ly/1eQK1</a> "Avocat spécialisé en propriété intellectuelle et en communication électronique, Gérard Haas décrypte les conséquences du brevet obtenu par Facebook sur le concept de "newsfeed"..."<br />
<br />
Don de moelle osseuse : réseaux sociaux à la rescousse <a href="http://ow.ly/1eR6j" target="_blank">http://ow.ly/1eR6j</a> Pour devenir donneur : www.dondemoelleosseuse.fr ou 0 800 20 22 24 (appel gratuit).<br />
<br />
<a href="http://www.twitter.com/stratagemme" target="_blank">Me suivre sur twitter...</a></div>Hélène SCHILDhttp://www.blogger.com/profile/01769733885134132162noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-275708481965069929.post-21949087683465289392010-03-04T12:00:00.010+01:002010-03-05T23:40:21.857+01:00Entreprises, oubliez vos préjugés, les réseaux sociaux sont votre territoire !<div style="text-align: justify;"><br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a target="_blank" href="http://4.bp.blogspot.com/_YodRREPfd3s/S4qIwvoRH2I/AAAAAAAAER4/fsGTT1Jeuto/s1600-h/a_oiseaux_DSCF3520.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;" target="_blank"><img border="0" kt="true" src="http://4.bp.blogspot.com/_YodRREPfd3s/S4qIwvoRH2I/AAAAAAAAER4/fsGTT1Jeuto/s320/a_oiseaux_DSCF3520.jpg" /></a></div><div align="left" class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br />
</div><div style="border-bottom: medium none; border-left: medium none; border-right: medium none; border-top: medium none;">Article de Fabian Innocenti sur le blog <a href="http://www.baobaang.com/">baobaang</a> le 5 février 2010</div><div style="border-bottom: medium none; border-left: medium none; border-right: medium none; border-top: medium none;"></div><div style="border-bottom: medium none; border-left: medium none; border-right: medium none; border-top: medium none;"><br />
A priori, le web 2.0 reste encore un terrain miné pour les entreprises en 2010. Non pas qu’il soit réellement miné -car avec un cadre et des stratégies adéquats les entreprises peuvent s’y épanouir sans difficultés- mais il subit une image dévalorisante dont il a du mal à se défaire.</div><br />
<div style="border-bottom: medium none; border-left: medium none; border-right: medium none; border-top: medium none;">Qu’est-ce que les médias traditionnels montrent du web 2.0 ? De la peur (les pirates informatiques, les pédophiles sur les chats, des groupes de discussion extrémistes, etc.), des excès en tous genres (des vidéos à la hauteur des ‘VidéoGag’, les 100 meilleurs quelquechose et les 100 pires), des risques (le temps passé par les salariés sur les réseaux sociaux, des jeux vidéos en ligne chronophages dans la vie de jeunes)…</div><div class="Section1" style="text-align: justify;"><br />
Bref, si les réseaux sociaux ne remontent que l’écume de l’information des médias traditionnels (c’est le principal enseignement de l’expérience Huis Clos sur le Net), les médias traditionnels remontent une image parfaitement déformée de la réalité des médias et réseaux sociaux (Mickaël Vendetta dans la Ferme Célébrités sur TF1, c’est quoi ?)<br />
<br />
Comme l’ont annoncés différents gourous de l’Internet 2.0, en 2010 la récréation est terminée ! Les entreprises vont devoir aller sur le terrain de leurs publics….<br />
<br />
Oubliez Susan Boyle, pensez au mécanisme de bouche-à-oreille facilité par la viralité des messages des réseaux sociaux.<br />
<br />
Oubliez l’image adolescents et photos de soirées sur Facebook, pensez aux 15 millions de comptes français sur Facebook et à votre visibilité.<br />
<br />
Oubliez que Obama est sur Twitter, pensez à la progression de Twitter et à ses différentes utilisations directes pour vos contacts pros.<br />
<br />
Oubliez les réseaux rigides et grand public, pensez au réseau social dédié à votre entreprise.<br />
<br />
Oubliez les blogs ados hébergés par Skyrock, pensez au réseau d’influenceurs et de prescripteurs que peuvent représenter les bloggueurs les plus suivis.<br />
<br />
Oubliez votre site Internet pas forcément à jour, pensez à tout ce que vos utilisateurs disent de vous sur les forums et blogs et créent comme contenu.<br />
<br />
Oubliez ce commentaire négatif arrivé en 7ème résultat sur Google, pensez à la veille complète que vous allez mettre en place pour vous faire une véritable idée de votre e-réputation.<br />
<br />
Oubliez que YouTube ne vous concerne pas parce que vous ne faites pas de vidéo, pensez au potentiel de contacts par la publicité sur les réseaux sociaux.<br />
<br />
Oubliez cette discussion vous concernant sur un forum, pensez au service client que vous pouvez y développer.<br />
<br />
Bref, oubliez vos préjugés, écartez la fausse image drainée par les médias traditionnels, le web 2.0 est votre espace de travail et votre territoire de communication. </div></div>Hélène SCHILDhttp://www.blogger.com/profile/01769733885134132162noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-275708481965069929.post-5364274637639787492010-02-25T21:21:00.001+01:002010-02-25T21:21:15.397+01:00e-reputation des patrons du CAC 40<p>Les patrons ont-il intérêt à être présents sur la toile ou est-ce du temps perdu ? </p> <p><a href="http://lh4.ggpht.com/_YodRREPfd3s/S4bbuOXxubI/AAAAAAAAEOY/B66jFa25Ei0/s1600-h/DSCF1582%5B2%5D.jpg"><img title="DSCF1582" style="display: block; float: none; margin-left: auto; margin-right: auto" height="244" alt="DSCF1582" src="http://lh3.ggpht.com/_YodRREPfd3s/S4bbuoXe2LI/AAAAAAAAEOc/B2I_r-7AyY8/DSCF1582_thumb.jpg?imgmax=800" width="184" border="0" /></a></p> <p>Hopscotch fait le point sur l'e-réputation des dirigeants du CAC 40 et  Louis-Serge Real del Sarte nous en livre une synthèse dans son Blog ! (Résultats du premier baromètre Hopscotch de l’e-réputation le 24/02/2010) </p> <p>Benoît Potier (Air Liquide), Lakshmi Mittal (Arcelor Mittal), Paul Hermelin (Cap Gemeni), Lars Olofsson (Carrefour), Franck Riboud (Danone), Jean-Luc Dehaene (Dexia), Henri Proglio (EDF), Bernard Arnault (LVMH), François-Henri Pinault (PPR), Carlos Ghosn (Renault), Pierre-André de Chalendar (Saint Gobain), Chris Viehbacher (sanofi-aventis), Jean-Pascal Tricoire (Schneider Electric), Thierry Pilenko (Technip), Jean-Bernard Lévy (Vivendi)... </p> <p>Quelles sont les tendances des patrons du CAC 40 ? <br />Sont-ils présents sur la toile ? <br />Ont-ils une e-réputation solide ? <br />Est-ce que leur e-réputation est corrélée à leur rémunération et leur fortune ? </p> <p>Indice de visibilité, indice d’intérêt, indice de qualité... </p> <p><a href="http://www.absolute-trading-method.com/article-l-e-reputation-des-dirigeants-du-cac-40-45627579.html" target="_blank">Les clés de l’e-réputation selon Hopscotch sur le Blog de Louis-Serge Real del Sarte…</a></p> Hélène SCHILDhttp://www.blogger.com/profile/01769733885134132162noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-275708481965069929.post-25889822390484885942010-02-17T09:00:00.026+01:002010-02-17T09:00:05.878+01:00Réseaux sociaux : mesures de protection des enfants<div style="text-align: justify;">La Commission européenne demande aux réseaux sociaux d'améliorer les mesures de protection des enfants</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Selon une étude de l'UE, 50 % des adolescents européens publient sur la Toile des informations personnelles qui peuvent rester indéfiniment en ligne et être vues par n'importe qui. En cette journée pour un internet plus sûr (Safer internet day), la Commission européenne lance un message aux adolescents: «Tu publies? Réfléchis!». Elle s'est félicitée des mesures prises pour protéger les enfants fréquentant des sites de socialisation par les vingt sociétés qui ont signé l'an dernier l'accord sur les «Principes de l'UE pour des réseaux sociaux plus sûrs» (IP/09/232). La plupart de ces sociétés donnent désormais aux mineurs les moyens de réduire eux-mêmes les risques encourus en ligne, en facilitant la modification des paramètres de confidentialité, le blocage d'utilisateurs ou la suppression de commentaires et contenus indésirables. Mais selon la Commission, il faut aller plus loin si l'on veut assurer la protection des enfants sur internet. Moins de la moitié des sociétés de réseaux sociaux (40 %) limite par défaut la visibilité des profils des moins de 18 ans à leurs seuls amis, et un tiers seulement répond aux demandes d'aide des utilisateurs. </div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Un an après, la Commission a publié un rapport sur la mise en oeuvre de ces principes sur les 25 sites gérés par les signataires (Arto, Bebo, Dailymotion, Facebook, Giovani.it, YouTube, Hyves, Windows Live, Xboxlive, Myspace, Nasza-klaza.pl, Netlog, One.lt, Piczo, Rate.ee, Skyrock, SchülerVZ, StudiVZ, MeinVZ, Habbo, IRC Galleria, Tuenti, Yahoo!Answers, Flickr et Zap.lu). Il en ressort que 19 sites sur 23 donnent des consignes de sécurité et des informations en la matière spécifiquement destinées aux enfants ou aux adolescents (cette mesure n'est pas applicable à deux des services concernés). Ces informations sont à la fois faciles à trouver et faciles à comprendre sur 14 sites: YouTube, Habbo Hotel, Hyves, IRC Galleria, MySpace, Nasza-klasa, Netlog, One, Rate, SchülerVZ, Skyrock, Yahoo!Answers, Yahoo!Flickr et Zap. </div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Le rapport montre également que la plupart des sites offrent aux mineurs les moyens de réduire les risques éventuels et de préserver leur vie privée : </div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">• en leur permettant de bloquer facilement à partir de leur profil l'accès d'autres utilisateurs et de supprimer facilement des commentaires; </div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">• en facilitant la modification des paramètres de confidentialité, afin que les utilisateurs puissent choisir si ce qu'ils mettent en ligne ne pourra être vu que par leurs amis, ou par tout le monde; </div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">• en permettant aux utilisateurs de contrôler l'affichage de leur statut en ligne (qui permet aux autres utilisateurs de voir s'ils sont en ligne ou non). </div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">En revanche, d'autres mesures tout aussi importantes pour la protection de la vie privée ont été mises en œuvre de manière moins systématique : </div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">• 40% des sites de socialisation examinés prévoient par défaut que les informations personnelles relatives aux mineurs ne seront visibles que de leurs amis: il s'agit de SchülerVZ, Facebook, Tuenti, Giovani, Flickr, Yahoo Answers, One, Habbo, Windows Live et MySpace; </div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">• onze sites sur 22 seulement ont fait en sorte que les profils privés des mineurs ne puissent être trouvés par des moteurs de recherche : Arto, Bebo, Facebook, YouTube, MySpace, Piczo, SchülerVZ, Windows Live, Yahoo!Answers, Yahoo!Flickr et Zap; </div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">• dix-neuf sites sur 25 comportent un lien permanent pour signaler des problèmes, mais 9 seulement (sur 22) ont répondu aux plaintes reçues pendant l'évaluation: Arto, Dailymotion, YouTube, Habbo Hotel, Hyves, IRC Galleria, MySpace, Rate et Windows Live. Il est donc urgent d'améliorer les services de réponse aux demandes d'aide des utilisateurs.</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Les «Principes de l'UE pour des réseaux sociaux plus sûrs» ont été signés par 18 grands prestataires de services de socialisation européens le 10 février 2009, puis par deux autres sociétés en juin 2009 (IP/09/232, MEMO/09/58). En juin 2009, tous les signataires, à l'exception de Giovani.it, avaient renvoyé à la Commission européenne leurs déclarations de mise en œuvre de ces principes. Le rapport d'évaluation de cette mise en œuvre présenté aujourd'hui repose sur l'analyse des déclarations de ces sociétés et sur des vérifications concrètes de leurs sites, effectuées entre fin octobre et début novembre 2009.</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Article complet sur les <a href="http://europa.eu/rapid/pressReleasesAction.do?reference=IP/10/144&format=HTML&aged=0&language=FR&guiLanguage=en">réseaux sociaux et l'amélioration des mesures de protection des enfants</a>.</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"><a href="http://europa.eu/">http://europa.eu/</a> 9 février 2010</div>Hélène SCHILDhttp://www.blogger.com/profile/01769733885134132162noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-275708481965069929.post-50170964025326576042010-02-15T09:00:00.001+01:002010-02-15T09:00:06.210+01:00Enseignement : Pour mieux apprendre, pensez technologies !<div style="text-align: justify;">Les initiatives qui mêlent enseignement et high-tech confirment le rôle de cette dernière sur la rapidité d'acquisition des connaissances et de compétences. Reste à transformer l'essai, et à l'échelle mondiale. </div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Dans une étude commandée à l'Ifop par L'Atelier et présentée à l'occasion de la conférence "One Laptop Per Child : plus qu'un ordinateur, une véritable révolution pédagogique !", il revenait clairement qu'en France, les individus ont identifié les bienfaits des technologies de l'information et de la communication pour l'éducation. </div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">A une échelle plus globale, le projet One Laptop Per Child (OLPC) a lui aussi mis en avant les bénéfices des technologies pour l'éducation, notamment dans les pays émergents. Le constat de départ est simple : les solutions d'e-learning, et maintenant de m-learning, prolongent et rendent plus flexibles les moments d'enseignement. Mais permettent aussi à des publics qui ne le pouvaient pas forcément d'accéder à des formations. Ce, en raison de leur travail, de l'éloignement...</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"><span style="color: blue;"><strong>Les technologies ne jouent pas un rôle positif uniquement au niveau de l'enseignement à distance. Intégrer téléphone portable, jeux vidéo, solutions de réalité augmentée et modules collaboratifs aux projets éducatifs facilite l'acquisition des connaissances.</strong></span> Reste qu'il ne faut pas s'engager de façon précipitée dans une démarche d'e-learning ou d'insertion des TIC au processus éducatif. D'une part parce que toutes les technologies ne sont pas forcément adaptées à la forme de savoir que l'enseignant cherche à transmettre. Mais aussi parce que trop de supports high-tech peuvent perturber au final plus qu'ils n'aident l'acquisition des connaissances. Parmi les conseils qui ressortent des différentes initiatives menées : la nécessité de miser sur la logistique et l'encadrement des élèves, mais aussi définir une stratégie bien rodée à laquelle les outils technologiques s'ajoutent.</div><br />
http://www.atelier.fr/ 5 février 2010Hélène SCHILDhttp://www.blogger.com/profile/01769733885134132162noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-275708481965069929.post-90802155141986039452010-02-05T08:00:00.000+01:002010-02-05T08:00:05.920+01:00Le cerveau des médecins moins sensible à la douleur d'autrui<div style="text-align: justify;">Une équipe de neurobiologistes américains, en collaboration avec des chercheurs taïwanais, a réalisé une étude sur la gestion par les praticiens de leurs propres émotions face à une situation thérapeutique impliquant la douleur du patient. L'expérience a consisté à projeter à un groupe de médecins, puis à un groupe témoin, des images de personnes recevant une piqûre, et à mesurer par électroencéphalogramme la réaction électrique la plus immédiate de leur cerveau. Car le signal de la perception de la douleur chez autrui, qui est proportionnel à l'intensité estimée de cette douleur, intervient en seulement un dixième de seconde dans le cerveau. Or, pour le groupe de médecins, la zone du cerveau qui normalement s'active lorsque nous voyons un traitement douloureux appliqué à une tierce personne, reste invariablement sans réaction.</div><div style="text-align: justify;"></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Les chercheurs expliquent ce phénomène par le fait que les praticiens ont dû, au cours de leur formation et de leurs années d'expérience, apprendre à gérer leurs émotions afin, d'une part de ne pas inquiéter leurs patients en étant eux-mêmes agités, d'autre part de maintenir un niveau de concentration suffisant pour rester objectif dans le choix du traitement. "Nous avions déjà montré que certaines zones, dans le cortex préfrontal notamment, s'activent uniquement chez les médecins face à la douleur d'autrui et que cela était causé par un contrôle spécifique des émotions. Restait à savoir si cette régulation s'exerçait dès la perception", comme le démontre l'étude, "ou si elle était le résultat d'un contrôle plus tardif de la part du cerveau", commente Jean Decety, principal auteur de ces travaux.</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Le Figaro - 02/02/10</div>Hélène SCHILDhttp://www.blogger.com/profile/01769733885134132162noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-275708481965069929.post-65009117115922370692010-02-04T08:00:00.013+01:002010-02-04T08:00:05.021+01:00Nouvelles technologies : Les outils de travail collaboratifs promis à une belle croissance<div style="text-align: justify;"></div><div style="text-align: justify;">D’ici à 2011, les entreprises devraient laisser davantage la place aux contenus partagés et aux réseaux sociaux, selon une étude réalisée par Markess International. </div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Pour plus de 80 % des 200 organisations interrogées (dont 48 % comptent plus de 2 000 collaborateurs), la messagerie d’entreprise figure, avec l’agenda partagé et le partage de fichiers, parmi les solutions de collaboration privilégiées en 2009. Mais, selon l’étude de Markess International consacrée aux solutions de collaboration d’entreprise, d’ici à 2011 et au-delà, de nouvelles fonctionnalités collaboratives seront demandées.</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"><strong><span style="color: orange;">Nouveaux usages</span></strong></div><div style="text-align: justify;"></div><div></div><div style="text-align: justify;">Pour un quart à un tiers des entreprises interrogées, les domaines collaboratifs privilégiés seront, par ordre décroissant : les espaces collaboratifs et les solutions permettant la création de contenus à plusieurs ; la gestion de projet ; les solutions de partage de contenus et de gestion documentaire ou de contenus ; les réseaux sociaux d’entreprise ; les solutions de gestion de contacts et de présence ; les blogs et wikis, la messagerie instantanée et la conférence web.</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"></div><div style="text-align: justify;">Emmanuelle Olivié-Paul, directrice associée de Markess International, constate que « les évolutions en cours impliquent des changements profonds dans les habitudes de travail et les modes opératoires des organisations ». Les nouveaux usages collaboratifs nécessitent un accompagnement en amont et une formation adaptée, ainsi qu’une définition claire des objectifs poursuivis.</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"><strong><span style="color: orange;">Apports majeurs</span></strong></div><div style="text-align: justify;"></div><div></div><div style="text-align: justify;">Les entreprises interrogées identifient cinq apports majeurs : </div><ul><li><br />
<div style="text-align: justify;">la performance individuelle et collective</div></li>
<li><br />
<div style="text-align: justify;">le partage et l’accès à l’information</div></li>
<li><br />
<div style="text-align: justify;">la capitalisation des connaissances</div></li>
<li><br />
<div style="text-align: justify;">la diffusion de l’information</div></li>
<li><br />
<div style="text-align: justify;">les économies financières associées. </div></li>
</ul><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Selon Markess, le marché français des logiciels et services associés aux solutions de collaboration d’entreprise, estimé à 860 millions d’euros à fin 2009, devrait atteindre près de 1 milliard d’euros en 2011, soit +7,8 % de croissance moyenne annuelle.</div><div style="text-align: justify;"></div><div></div><div style="text-align: justify;">Source de l'article : wk-rh.fr 2 février 2010</div>Hélène SCHILDhttp://www.blogger.com/profile/01769733885134132162noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-275708481965069929.post-39228968123176723202010-02-03T09:00:00.002+01:002010-02-03T09:00:07.149+01:00Emploi en 2010 : les grandes tendances du recrutement<div class="Section1"><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;">Si en 2009, crise oblige, les entreprises n’ont pas rivalisé d’imagination pour recruter, elles ont du pain sur la planche cette année. Cinq grandes tendances se dessinent. </span></span></div><div style="text-align: justify;"></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;"></span></span></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;">La Toile regorge d'outils précieux pour aider les recruteurs à dénicher des candidats. Plus question de se contenter de diffuser des annonces sur les sites d'emploi, les recruteurs doivent revoir leurs méthodes de travail, comprendre par exemple les rouages de Google, et oser diversifier leurs canaux de recrutement. De Twitter à LinkedIn, en passant par Viadeo ou Facebook, et bientôt l'iPhone, ils n'ont que l'embarras du choix. Dans cette seconde partie de notre dossier consacré à l'emploi 2010, 01netPro revient sur quelques-unes de ces (r)évolutions.</span></span></div><div style="text-align: justify;"></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;"></span></span></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;">1. Le référencement naturel, un passage obligé pour les recruteurs</span></span></div><div style="text-align: justify;"></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;"></span></span></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;"></span></span></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;">En 2010, les recruteurs ne pourront plus faire l'impasse sur Google. « Les entreprises ont manqué la révolution du référencement naturel en 2009. Elles ont quasiment toutes des sites Carrières mal référencés. Du coup, leurs offres ne remontent pas dans les moteurs de recherche. C'est un gros gâchis », explique Laurent Pilliet, patron de Naopresse, agence spécialisée dans les RH, et coauteur de l'ouvrage Tops et flops du recrutement (Studyrama). Résultat : les recruteurs vont devoir sérieusement plancher sur le référencement, apprendre à améliorer la visibilité de leurs annonces en découvrant, notamment, les rouages de Google, en se dotant d'un site Carrières pensé pour le référencement. Un travail qui ne s'improvise pas. Si elles n'ont pas l'appui en interne d'un spécialiste, elles pourront se tourner vers des agences de communication RH ou des Web agency, par exemple. Certains acteurs RH proposent d'ores et déjà une offre dans ce domaine.</span></span></div><div style="text-align: justify;"></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;"></span></span></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;">2. La généralisation de l'usage des réseaux sociaux professionnels</span></span></div><div style="text-align: justify;"></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;"></span></span></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;">Le recrutement 2.0 n'a pas dit son dernier mot. Surtout dans des secteurs innovants comme celui de l'informatique. D'une manière générale, les réseaux sociaux professionnels tels que LinkedIn ou Viadeo investissent de plus en plus la sphère de l'entreprise. Des postes de responsables de médias sociaux ou de communautés ont vu le jour dans des sociétés IT (Orange, Dassault Systèmes, etc.), avec un objectif : élaborer de véritables stratégies pour mettre en avant leur marque sur les différents sites communautaires. Une façon peu coûteuse de développer sa notoriété et de contrôler sa réputation. Dans le domaine du recrutement, force est de constater que les recruteurs ne se sont pas tous familiarisés à ces outils. Les chasseurs de tête un peu plus… Toutefois, leur usage se développe. Les recruteurs postent des annonces, font de l'e-mailing payant, ou lorsqu'ils disposent d'un compte Premium, contactent des candidats intéressants. Pour Laurent Pilliet, l'un des avantages reste la qualité des CV déposés sur Viadeo, par exemple. « Elle ne faiblit pas. En plus, les candidats actualisent davantage leur profil sur ces sites que sur des job boards ». Pour Jacques Froissant, fondateur d'Altaïde et cofondateur de Moovement.fr, les recruteurs pourraient aussi, cette année, se tourner davantage vers les moteurs de recherche d'offres d'emploi sur Internet – encore peu utilisés par les candidats – tels que Jobijoba.fr, Moovement.fr ou, les versions françaises des sites américains Simplyhired et Indeed.</span></span></div><div style="text-align: justify;"></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;"></span></span></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;">3. Facebook, un terrain de chasse pour les recruteurs…</span></span></div><div style="text-align: justify;"></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;"></span></span></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;">Comment rester insensible aux 15 millions de Français inscrits sur Facebook ? Il y a fort à parier qu'en 2010, les recruteurs aillent davantage à la rencontre des candidats qui se cachent – ou pas – sur le réseau des amis. Les groupes tels que Recrutement et RH 2.0 (1 685 fans) ou Recrutement Web 2.0 (3 596 fans) pourraient aussi se multiplier sur Facebook. Même les cabinets de recrutement créent de plus en plus leur page sur Facebook, offrant parfois une liste des annonces disponibles. « Plus qu'une tendance en 2010, c'est surtout un pari, estime Laurent Pilliet, car les Français ne voient pas Facebook comme un outil professionnel. Mais si des prestataires proposent des systèmes de cooptation sur Facebook, cela peut devenir intéressant. » </span></span></div><div style="text-align: justify;"></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;"></span></span></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;">4. … Twitter aussi</span></span></div><div style="text-align: justify;"></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;"></span></span></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;">De plus en plus de recruteurs postent leurs offres sur l'outil de microblogging Twitter. Certaines entreprises, comme le groupe Société Générale, se sont créées un compte sur Twitter pour draguer les candidats, divulguer des offres et leur proposer des conseils. Elles risquent d'être de plus en plus nombreuses à franchir le pas même si, en France, Twitter n'est pas encore très populaire. De leur côté, les candidats à l'emploi – les informaticiens, entre autres – n'ont déjà que l'embarras du choix pour accéder à des annonces, en un clic. 01NetPro, en novembre dernier, avait déjà répertorié plus de 40 comptes susceptibles de les intéresser. La liste Recrutement 2.0 sur Twitter peut aussi leur donner des idées.</span></span></div><div style="text-align: justify;"></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;"></span></span></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;">5. Le mobile, un nouveau canal de recrutement ?</span></span></div><div style="text-align: justify;"></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;"></span></span></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;">Les recruteurs vont-ils se laisser séduire par l'iPhone ? C'est encore la grosse inconnue. Pour Jacques Froissant, « la consultation des offres sur mobile est aujourd'hui facilitée par la démocratisation des smartphones comme l'iPhone, et le développement de la 3G accessible de plus en plus facilement. Le métro, le RER, le bus sont des endroits privilégiés de consultation Web. ». Les recruteurs ont donc tout intérêt à ne pas bouder ce nouveau canal de recrutement et à diversifier leurs méthodes de sourcing. L'iPhone est aussi bien adapté aux recruteurs mobiles, souvent en déplacement. Certains éditeurs comme Recrutae n'ont pas tardé à proposer à leurs clients une solution de recrutement pour iPhone. Ceux-ci peuvent consulter quotidiennement les derniers CV reçus depuis leur téléphone, y répondre en envoyant, si besoin, des courriers types. Ils accèdent aussi, par exemple, à une série limitée de statistiques sur les embauches effectuées, le nombre de visiteurs et de pages vues sur les offres et le site RH du recruteur, l'origine des visites, etc.</span></span></div><div style="text-align: justify;"></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;"></span></span></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><br />
<div class="MsoNormal"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;">http://pro.01net.com 15/01/2010</span></span></div></div>Hélène SCHILDhttp://www.blogger.com/profile/01769733885134132162noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-275708481965069929.post-40611196692860731602010-02-02T09:00:00.002+01:002010-02-02T09:00:08.070+01:00Les réseaux sociaux plébiscités par les internautes français<div class="Section1"><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;">Une majorité des Français qui se rendent sur le web est membre d'au moins une plate-forme communautaire. La plus populaire ? Copains d'avant, qui résiste encore à Facebook et Windows live. </span></span></div><div style="text-align: justify;"></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;"></span></span></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;">"L'année <metricconverter productid="2009 a" w:st="on">2009 a</metricconverter> été marquée en France par une amplification de l'essor des réseaux sociaux en ligne", rapporte l'Ifop dans son dernier Observatoire des réseaux sociaux. Et de fait, près de 80 % des internautes déclarent être membres d'au moins un site communautaire. Plus des deux tiers des Français sont désormais connectés au web social. Avec une surprise : contrairement aux idées reçues, ce n'est pas Facebook qui caracole en tête, mais Copains d'Avant. Un Français internaute sur deux est inscrit à la plate-forme. Le site américain arrive même en troisième position, derrière Windows Live, qui rassemble 46% des Français.</span></span></div><div style="text-align: justify;"></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;"></span></span></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;">Etre membre de plusieurs réseaux sociaux</span></span></div><div style="text-align: justify;"></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;"></span></span></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;">Facebook connaît néanmoins une croissance impressionnante depuis l'étude précédente, qui datait d'Automne 2008. Autre apport de l'étude, lorsqu'un Français est membre d'un de ces trois grands réseaux sociaux, il a de fortes chances de l'être aussi d'un autre site communautaire. A titre exemple, la moitié des membres de Copains d'Avant ont un compte sur Facebook. Quant à Twitter, il connaît une progression spectaculaire de sa notoriété : le site de gazouillis est désormais connu par près de deux Français sur trois, avec une progression de 58 points en un an.</span></span></div><div style="text-align: justify;"></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;"></span></span></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;">La quasi-totalité des jeunes possède un compte sur un réseau social</span></span></div><div style="text-align: justify;"></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;"></span></span></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"></div><div class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;">Mais seuls 5 % des personnes interrogées déclarent être membre du site. Des conclusions proches de celles publiées par L'Atelier et FaberNovel dans l'étude dédiée aux usages du site de micro-blogging en France. Dernières conclusion du rapport : l'appartenance à un réseau social varie encore fortement d'une classe d'âge à une autre. Près de la totalité des jeunes de 18 à 24 ans déclarent être membres d'au moins un des réseaux étudiés, mais ce chiffre tombe à près de 50 % pour les plus de 65 ans.</span></span></div><br />
<div class="MsoNormal"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;"></span></span></div><br />
<br />
<div class="MsoNormal"><span style="font-family: Arial; font-size: x-small;"><span style="font-family: Arial; font-size: 10pt;">www.atelier.fr, 15/01/2010</span></span></div></div>Hélène SCHILDhttp://www.blogger.com/profile/01769733885134132162noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-275708481965069929.post-13822987956932789812010-02-01T09:00:00.000+01:002010-02-01T09:00:04.176+01:00CAC 40 : femmes et conseils d'administration<div style="text-align: justify;">L'Assemblée nationale examinera demain une proposition de loi, qui permettrait d'instaurer un quota de 40% de femmes dans les conseils d'administration des entreprises du CAC 40.</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Actuellement, trop peu de femmes y siègent, les exemples faisant figure d'exception, comme Claudie Haigneré chez sanofi-aventis. Avec ce texte, la France emboîte le pas à la Norvège et à l'Espagne, deux pays imposant un tel quota dans les instances dirigeantes des entreprises.</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">La tribune - 19/01/10</div>Hélène SCHILDhttp://www.blogger.com/profile/01769733885134132162noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-275708481965069929.post-67394584418992647202010-01-31T09:00:00.000+01:002010-01-31T09:00:01.201+01:00Le temps que les Français passent au travail baisse constamment depuis 1950<div style="text-align: justify;">Le temps que les Français passent au travail baisse constamment depuis 1950, du fait notamment de la progression de l'emploi salarié, une évolution similaire à celle de neuf autres pays développés, selon une étude de l'Insee. </div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Il est passé de 2.230 heures par an en 1950 à 1.559 en 2007. Ce temps de travail en France est inférieur à la moyenne des dix pays étudiés (1.620) mais supérieur à celui de l'Allemagne (1.432) et des Pays-Bas (1.413), remarque l'Institut national de la statistique et des études économiques. </div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Les champions de la longueur du temps de travail sont la Corée du Sud (2.165 heures par an), devant les Etats-Unis (1.785), le Japon (1.784) et l'Espagne (1.775).</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Le Royaume-Uni (1.607), la Suède (1.601) et l'Italie (1.566) suivent, juste devant la France.</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Si les Français travaillent moins, c'est comme dans les autres pays essentiellement en raison du déclin de l'emploi agricole au profit du salariat, régime qui est celui de 91% des actifs français aujourd'hui, contre 65% en 1950.</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Depuis les années 1970, la baisse de la durée du travail est aussi liée au développement des contrats à temps partiel, notamment concernant les femmes. </div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">La France a une spécificité limitée dans les raisons de cette évolution, puisqu'elle a réduit l'horaire de travail légal avec les lois Robien (1996) sous la droite, et Aubry sous la gauche (1998 et 2000). </div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Le temps de travail est devenu une des lignes de fracture entre droite et gauche. Elu à l'Elysée avec le slogan "travailler plus pour gagner plus", Nicolas Sarkozy a assoupli les lois sur les 35 heures sans les supprimer, cette durée demeurant la limite légale de travail hebdomadaire. </div>Hélène SCHILDhttp://www.blogger.com/profile/01769733885134132162noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-275708481965069929.post-70729057908771107202010-01-21T09:05:00.003+01:002010-01-21T09:05:00.262+01:00Le stress au travail coûte au moins 2 à 3 milliards d'euros par an France)<div style="text-align: justify;">C'est la conclusion d'une vaste enquête menée par "Arts et Métiers ParisTech" et l'Institut national de recherche et de sécurité (INRS). L'absentéisme en entreprise et la cessation d'activité sont les principaux postes de coût. <br />
</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"><strong><span style="color: #b45f06;">Quels sont les risques de développer des pathologies en lien avec le stress ?</span></strong> <br />
</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">C'est la question que se sont posées les auteurs de l'étude, qui n'ont retenu qu'un seul facteur de stress : le "job strain", ou situation de travail tendue. Cela se caractérise par une forte pression (des cadences rapides ou des échéances très serrées) et par une absence d'autonomie dans la réalisation du travail. <br />
</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Résultat pour l'année 2007 : près de <span style="color: #cc0000;"><strong>la moitié des salariés sont exposés à ce genre de situation, à plus ou moins forte dose, pendant les trois quarts de leur temps de travail.</strong></span> Au-delà des conséquences humaines, <strong><span style="color: #b45f06;">ce stress au travail génère des maladies cardiovasculaires, des dépressions, certains troubles musculo-squelettiques...</span></strong> <br />
</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Ces pathologies engendrent des coûts très importants pour la collectivité et les entreprises : entre 800 millions et 1,2 milliard d'euros pour l'absentéisme, à peu près la même chose pour les invalidités et les dispenses de recherche d'emploi. Mais cela se traduit aussi par des soins de santé et parfois par des décès prématurés. <br />
</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"><strong><span style="color: #b45f06;">Au total, le coût du stress au travail est évalué entre 2 et 3 milliards d'euros : une évaluation très sous-estimée, reconnaissent les auteurs, car elle ne prend en compte qu'un seul facteur de stress et seulement certaines pathologies pouvant être liées au stress.</span></strong> <br />
</div>Hélène SCHILDhttp://www.blogger.com/profile/01769733885134132162noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-275708481965069929.post-57935590921418807502010-01-19T09:05:00.000+01:002010-01-19T09:05:00.672+01:00Femmes en minorité dans les conseils d'administration des entreprises du CAC 40<div style="text-align: justify;"><strong><span style="color: #b45f06;">En 2010, les femmes ne représentent toujours que 10% des conseils d'administration des grandes entreprises françaises du CAC 40</span></strong>. <br />
</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Un texte de loi destiné à établir une véritable parité en entreprise est sur le point d'être voté : des quotas de femmes pourraient être imposés. Une vingtaine de grands groupes dont Sanofi ont par ailleurs créé en 2008 le programme Board Women Partners, destiné à améliorer la visibilité des femmes cadres ayant un haut potentiel afin de faciliter leur nomination au sein des conseils d'administration. <br />
</div><br />
L'Express - 14/01/2010Hélène SCHILDhttp://www.blogger.com/profile/01769733885134132162noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-275708481965069929.post-66955905765927567232010-01-16T09:05:00.001+01:002010-01-16T09:05:00.569+01:00CAC 40 et conseils d'administration des grandes entreprises<div style="text-align: justify;">A peine une centaine de personnes se partagent les droits de vote des conseils d'administration des entreprises du CAC 40. "Le Monde" indique que les diplômés des grandes écoles, polytechniciens ou énarques, sont majoritaire parmi les dirigeants des grands groupes français, et rappelle qu'une telle "consanguinité" est pourtant critiquée par le Medef. <br />
</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">François-Xavier Dudouet, sociologue au CNRS, les a baptisés les "patrons d'Etat", relève le journal dans un article intitulé : "Le capitalisme français reste aux mains d'un club très fermé". <br />
</div><br />
Le Monde - 12/01/2010Hélène SCHILDhttp://www.blogger.com/profile/01769733885134132162noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-275708481965069929.post-7337608531195515442010-01-14T08:00:00.002+01:002010-01-14T08:00:01.397+01:00web 2.0 : Comprendre le Web communautaire avant de "l'accepter"<div style="text-align: justify;">Il est certain que le web 2.0 change beaucoup de choses. Il est rentré dans nos habitudes, mais malgré le bruit que peuvent faire Facebook ou encore Twitter, certains semblent toujours ignorer ce qu'est le web participatif. <br />
</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Les réseaux sociaux sont devenus des outils incontournables qui nous apportent une richesse d'intervention ; tant dans le milieu professionnel que personnel. Le "virale" semble être aujourd'hui, le passage obligé pour se développer et réussir. Alors pourquoi certains ne sont-ils toujours pas convaincus du profit qu'ils peuvent tirer grâce au web communautaire ? <br />
</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Ne l'oublions pas, l'échange est la base de la communication, et le web communautaire permet ce partage. Il faut comprendre ce qu'est le Web 2.0 avant de "l'accepter". Seulement voilà, avant d'être séduit par les opportunités que nous offre le web actuel, il faut en comprendre le fonctionnement. Qui se cache derrière tout ça ? Quel est le profil de ces utilisateurs avides de nouvelles technologies ? Qu'est-ce que la génération Y ? Et puis pourquoi utiliser tant de variante pour définir ce web ? <br />
</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Entre le social, le communautaire, le participatif, le collaboratif et j'en passe… Comment l'utilisateur lambda peut-il s'y retrouver dans le fond ? Le 2.0 est plus que tout un état d'esprit, une façon de penser et pour en comprendre les modes de fonctionnement, il faut s'ouvrir et plus ou moins adhérer à ce nouveau mode d'expression. Que l'on soit blogueur, professionnel ou internaute, le Web 2.0 ; c'est une ouverture ! Libre à chacun d'évoluer avec, de l'accepter et de chercher à le comprendre… <br />
</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"><a href="http://carrefourdesidees.net/comprendre-le-web-communautaire-avant-de-%E2%80">Lire l'article complet avec un slideshow réalisé par des doctorants sur "Les principes génériques des réseaux sociaux numériques"...</a><br />
</div><br />
<div style="text-align: justify;"><strong><em><span style="color: #674ea7;">Dans les grandes entreprises, le simple affichage mural pour sensibiliser son personnel aux consignes de sécurité ou aux économies d'énergie dans les bureaux est souvent peu efficace. Surtout quand il s'agit de communiquer auprès des jeunes générations habituées aux jeux vidéos et aux <a href="http://com-bonjour-jour-apres-jour.blogspot.com/2009/11/communication-interne-le-web-20-pour.html" target="_blank">réseaux sociaux</a>.</span></em></strong><br />
</div>Hélène SCHILDhttp://www.blogger.com/profile/01769733885134132162noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-275708481965069929.post-33331907001845268682010-01-12T08:00:00.002+01:002010-01-12T08:00:01.840+01:00Web 2.0 : Les e-marchands se mettront aux réseaux sociaux en 2010<div style="text-align: justify;">En 2009, les sites marchands ont expérimenté diverses tactiques marketing sur les médias sociaux, de Facebook à Twitter en passant par les blogs et les communautés. En 2010, Forrester Research prévoit qu'ils sortiront de cette phase de test et considéreront les médias sociaux comme des canaux matures, établissant des budgets et des outils de mesure en conséquence. Le cabinet ajoute que les départements marketing ne seront plus les seuls concernés et que les e-commerçants mettront en place des structures dédiées à la gestion de leur présence et de leurs actions sur les médias sociaux. Selon Forrester, les informations provenant des consommateurs s'y exprimant, aujourd'hui surtout remontées aux départements marketing, seront également transmises aux chefs de produits et de marque ainsi qu'à d'autres branches de l'entreprise. Forrester conclut qu'au fur et à mesure que le Web 2.0 gagnera en maturité, marketeurs et vendeurs vont devoir non seulement démontrer la profitabilité de leurs actions sur les réseaux sociaux en utilisant des indicateurs enfin pertinents, mais également garantir la protection des données privées des consommateurs. <br />
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<strong><em><span style="color: #674ea7;">Internet représente un réel canal de communication que les entreprises devront s'approprier au plus vite afin de demeurer compétitives. Par ailleurs, chaque action qu'elles entreprennent sont diffusées sur Internet… </span></em></strong><br />
<strong><em><span style="color: #674ea7;"></span></em></strong><br />
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<strong><em><span style="color: #674ea7;">Il est donc indispensable pour elles de gérer convenablement leur image sur différentes plateformes : <a href="http://com-bonjour-jour-apres-jour.blogspot.com/2009/10/web-20-bonne-et-mauvaise-e-reputation.html">réseaux sociaux, blogs, forums, microbloging…</a> </span></em></strong><br />
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</div>journaldunet.com, 23 décembre 2009Hélène SCHILDhttp://www.blogger.com/profile/01769733885134132162noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-275708481965069929.post-16035027210909895752010-01-09T08:00:00.036+01:002010-01-09T16:19:02.255+01:00Les sites Web qui ont révolutionné les années 2000<div style="text-align: justify;">Nous quittons une décennie qui a vu l'explosion des usages d'Internet, et notamment la naissance du <a href="http://com-bonjour-jour-apres-jour.blogspot.com/2009/12/web-20-revolution-en-cours.html">Web 2.0</a>. LeCourant a dressé, par ordre de naissance, un inventaire de huit sites qui ont, chacun à leur manière, révolutionné la vie de nombreux internautes. <br />
</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"><strong><span style="color: orange;"><span style="color: #e69138;">eBay</span> </span></strong>(créé en septembre 1995) C'est un entrepreneur français, Pierre Omidyar, qui a créé aux Etats-Unis ce site Web de vente aux enchères entre particuliers. Dès la fin des années 90, le succès est au rendez-vous. eBay révolutionne le shopping en popularisant l'achat sur Internet, tout en faisant découvrir à des millions d'internautes les joies et les affres de la vente aux enchères. <br />
</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"><strong><span style="color: #e69138;">Google</span></strong> (créé en septembre 1997) - L'aventure Google a commencé dans un garage californien, lorsque deux étudiants de Stanford, Larry Page et Sergey Brin, ont mis au point un algorithme d'une qualité inégalée, permettant une grande pertinence des résultats de recherche. Une ascension fulgurante a fait de Google le leader absolu des moteurs de recherche : 67% des internautes l'utilisent. <br />
</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"><span style="color: #e69138;"><strong>MSN Messenger</strong></span> (créé en juillet 1999) - Surfant sur le succès de la messagerie instantanée, née avec le logiciel ICQ, Microsoft a inventé son propre programme de dialogue en ligne. Le succès a rapidement été au <br />
</div><div style="text-align: justify;">rendez-vous. Il faut dire que Microsoft bénéficiait de sa position de leader dans le domaine des systèmes d'exploitation, qui lui permettait d'incorporer son logiciel aux différentes versions de Windows. <br />
</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"><strong><span style="color: #e69138;">Wikipédia</span></strong> (créé en janvier 2001) - A l'origine, un projet inédit imaginé par l'homme d'affaires américain Jimmy Wales : celui de créer une encyclopédie « libre », c'est à dire une encyclopédie gratuite en ligne à <br />
</div><div style="text-align: justify;">laquelle chacun peut contribuer. Une utopie se concrétisait : le savoir universel, par tous et pour tous. Dès les premières années, la croissance est rapide, et le cap des 500 000 articles est franchi en 2004. Wikipédia <br />
</div><div style="text-align: justify;">entre dans le top 10 de l'Internet mondial et devient une référence incontournable. <br />
</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"><span style="color: #e69138;"><strong>MySpace</strong></span> (créé en août 2003) - Fondé par deux Américains, MySpace a inauguré à la fois le blogging et le réseautage social. Ce site permet de se créer un espace Web et de le personnaliser à son goût (informations personnelles, photos, musiques, vidéos…), puis de le partager avec son réseau d'amis. <br />
</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"><strong><span style="color: #e69138;">Facebook</span></strong> (créé en février 2004) - Fondé par Marc Zuckerberg, Facebook était à l'origine le réseau social des étudiants de l'université Harvard. Il s'est ensuite étendu à d'autres universités américaines avant de s'ouvrir à tous en septembre 2006. Depuis, Facebook a déferlé sur le monde entier, devenant un véritable phénomène de société. <br />
</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"><span style="color: #e69138;"><strong>YouTube</strong></span> (créé en février 2005) - Il y a quatre ans, trois informaticiens concevaient un petit site Web pour partager le film d'une soirée entre amis. Le partage de vidéos était né, symbolisé par le célèbre slogan : « Broadcast Yourself ». L'ascension du site est fulgurante, la consécration suprême étant son rachat par Google en 2006. Aujourd'hui, on ne présente plus YouTube, géant du Web avec 350 millions de visiteurs mensuels. <br />
</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"><span style="color: #e69138;"><strong>Twitter</strong></span> (créé en juillet 2006) - C'est le dernier grand phénomène Internet des années 2000, et sûrement le premier des années 2010. Twitter est un service de microblogging : il permet à ses utilisateurs de poster des « tweets » ne devant pas excéder 140 caractères, depuis un ordinateur ou un téléphone mobile, et de le partager ainsi avec son réseau de « followers ». Un mini Facebook avec seulement les statuts, en quelque sorte. <br />
</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"><strong><em><span style="color: #674ea7;">Et l'avenir quel sera-t-il ? Les blogues et les wiki sont déjà du passé, on est maintenant à <a href="http://com-bonjour-jour-apres-jour.blogspot.com/2009/11/collaboration-20-la-releve-apres-le-web.html">la collaboration en temps réel et à son agrégation dans les applications</a>. </span></em></strong><br />
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<a href="http://www.lecourant.info/spip.php?article2582">Lecourant.info, 30 décembre 2009</a>Hélène SCHILDhttp://www.blogger.com/profile/01769733885134132162noreply@blogger.com0